Nous voilà donc à Chachapoyas (Chachas pour les intimes ;-) après une nuit un peu agitée dans le bus qui roulait vite sur les petites routes sinueuses de montagne...
La région est peuplée de nombreux sites archéologiques non fouillés (plus d'une trentaine), pour la plupart encore enfouis sous la foret et seulement accessible à pied. Ils ont été construits par les Chachapoyas, "le peuple des nuages", entre 800 et 1470. Ce peuple guerrier est resté assez isolé et l'on sait peu de chose à leur propos. Ils opposèrent une farouche résistance aux Incas et ne furent jamais totalement soumis à leur culture et à leur langue (le Quechua). Certains s'allièrent même aux espagnols pour se débarrasser des envahisseurs Incas.
Ici, nous sommes à la limite entre l'Amazonie et les Andes, la région est encore montagneuse mais déjà couverte de végétation.
Nous contactons une agence car nous voudrions faire un trek à l'ouest de Chachas passant par la vallée de Belen, le trek de Gran Vilaya. Les premières agences que nous visitons ne font que des excursions à la journée. Nous en trouvons enfin une qui nous propose de partir dès le lendemain.
Nous voilà donc partis pour 4 jours et 3 nuits de balade. Nous préparons les sacs quand, à 23h, on frappe à la porte de notre hôtel... La dame de l'agence nous dit que le guide ne sera pas en état de faire le trek car c'est la fête patronale du village (elle dure 2 semaines...) et qu'il risque de ne pas être très frais pour nous accompagner !
A la place, elle nous propose d'aller voir les chutes d'eau de Gocta et de reporter le trek d'une journée.
Nous contactons une agence car nous voudrions faire un trek à l'ouest de Chachas passant par la vallée de Belen, le trek de Gran Vilaya. Les premières agences que nous visitons ne font que des excursions à la journée. Nous en trouvons enfin une qui nous propose de partir dès le lendemain.
Nous voilà donc partis pour 4 jours et 3 nuits de balade. Nous préparons les sacs quand, à 23h, on frappe à la porte de notre hôtel... La dame de l'agence nous dit que le guide ne sera pas en état de faire le trek car c'est la fête patronale du village (elle dure 2 semaines...) et qu'il risque de ne pas être très frais pour nous accompagner !
A la place, elle nous propose d'aller voir les chutes d'eau de Gocta et de reporter le trek d'une journée.
Nous acceptons et nous rendons à l'agence le lendemain pour visiter les chutes. Elle nous dit que finalement, le guide est partant et que nous pouvons commencer le trek dès aujourd'hui... (en fait celui-ci a eu un petit accident de moto, les priorités à droite ne sont pas souvent respectées ici et le conducteur de la voiture qui l'a percuté était fortement alcoolisé).
Retour à l'hôtel en catastrophe, nous finissons de préparer les sacs et montons dans la voiture qui nous attend devant l'agence. Deux Suisses francophones de notre âge sont déjà installés à l'arrière, David et Carlos, nous allons passer les 4 jours avec eux. Entre deux sessions de surf, ils ont décidé de venir visiter un peu l'intérieur du pays. De plus, Carlos travaille depuis plus d'un an à Chiclayo et connaît pleins de choses sur le Pérou.
Hector, un jeune et habile chauffeur, nous conduit jusqu'au village de Luya où nous retrouvons notre guide, Ronald, qui a tout de même l'air un peu fatigué et passera le voyage à dormir dans le coffre. Nous commençons ce premier jour par la visite de la ville des morts, surnommée ainsi car de nombreuses tombes et sarcophages Chachapoyas y ont été retrouvés. Ronald nous indique le chemin qui descend rapidement à flanc de montagne, il cavale loin devant comme il fera tout au long du trek... De l'autre coté de la vallée, nous apercevons l'impressionnante chute d'eau de Gocta, réputée la 3e plus haute du monde, elle mesure 771 mètres (en deux parties).
Nous continuons la descente et distinguons une série de petites "dents" à flan de colline qui sont des sarcophages.
Seulement, un portail fermé à clef nous barre le chemin. Le guide n'a pas la clef (il essaye avec la clef de sa chambre, au cas où...). Il nous propose de faire le tour des barbelés au-dessus de la falaise, mais bon, on le sent pas trop donc on ne pourra pas s'approcher plus, dommage ! Nous remontons par un autre chemin où nous croisons d'autres sépultures (dont certaines profanées il y a quelques mois pour revendre les momies) et quelques fondations de maisons, on aperçoit quelques ossements humains de-ci de-là.
Cela semble incroyable que des gens aient pu habiter sur ce flanc de colline abrupte. Ronald nous explique que c'était un peuple de guerriers pour assurer leur propre défense et qu'ils habitaient par conséquent dans des lieux difficilement accessibles.
Seulement, un portail fermé à clef nous barre le chemin. Le guide n'a pas la clef (il essaye avec la clef de sa chambre, au cas où...). Il nous propose de faire le tour des barbelés au-dessus de la falaise, mais bon, on le sent pas trop donc on ne pourra pas s'approcher plus, dommage ! Nous remontons par un autre chemin où nous croisons d'autres sépultures (dont certaines profanées il y a quelques mois pour revendre les momies) et quelques fondations de maisons, on aperçoit quelques ossements humains de-ci de-là.
Cela semble incroyable que des gens aient pu habiter sur ce flanc de colline abrupte. Ronald nous explique que c'était un peuple de guerriers pour assurer leur propre défense et qu'ils habitaient par conséquent dans des lieux difficilement accessibles.
Le deuxième site de la journée se nomme Karajia. Ce coup-ci, nous pouvons nous approcher car il n'y a pas besoin de clef... Nous découvrons dans une vire de la falaise six sarcophages dont les plus grands dépassent les deux mètres.
Ils sont fait en bois, en argile et en paille et renferment des momies de l'élite Chachapoyas (chamans, grands guerriers ou chefs). A l'origine, ils étaient 8 mais deux ce sont écroulés (le troisième et le huitième). Tous les tombeaux de cette civilisation sont tournés vers l'est. Deux crânes surplombent les sarcophages, ce sont des trophées. Sur la même falaise se trouvent d'autres sarcophages de formes différentes, l'un en forme de rectangle avec un masque incrusté par exemple.
Ils sont fait en bois, en argile et en paille et renferment des momies de l'élite Chachapoyas (chamans, grands guerriers ou chefs). A l'origine, ils étaient 8 mais deux ce sont écroulés (le troisième et le huitième). Tous les tombeaux de cette civilisation sont tournés vers l'est. Deux crânes surplombent les sarcophages, ce sont des trophées. Sur la même falaise se trouvent d'autres sarcophages de formes différentes, l'un en forme de rectangle avec un masque incrusté par exemple.
Nous remontons dans la voiture et nous dirigeons vers notre auberge située dans la Vallée de Belen. La vue est splendide, des collines vertes découpent une vallée où serpente un court d'eau. C'est la première fois que nous apercevons un paysage de ce type.
Le refuge semble perdu dans cette incroyable vallée de vertes prairies où se côtoient vaches et chevaux.
Le lendemain, nous remontons la vallée à pied, puis bifurquons sur la droite afin de commencer une petite ascension. Le paysage nous régale plus que le maigre pique-nique composé d'un paquet de cacahuètes, de gâteaux secs, d'un carré de chocolat blanc et de deux fruits... heureusement, on pourra se rattraper le soir !
Après le passage du col, nous quittons le sentier pour visiter le site de Pirquilla. On distingue encore clairement les murs ondulés des terrasses sur lesquels se trouvaient les maisons rondes des Chachapoyas. Il faut cependant pas mal d'imagination pour se représenter le site qui est désormais entièrement noyé sous la végétation.
Après le passage du col, nous quittons le sentier pour visiter le site de Pirquilla. On distingue encore clairement les murs ondulés des terrasses sur lesquels se trouvaient les maisons rondes des Chachapoyas. Il faut cependant pas mal d'imagination pour se représenter le site qui est désormais entièrement noyé sous la végétation.
Nous descendons ensuite jusqu'au petit village de Congon où nous passons la nuit. On a l'impression que rien ici n'a changé depuis 30 ans. Les gens vivent surtout de la culture du café, une quantité d'animaux se promènent dans les rues en terre : poules, canards, cochons, chevaux, ânes, pintades...
La douche est ouverte à hauteur de tête et offre une très jolie vue sur la vallée. ;-) La végétation est luxuriante et nous avons un peu l'impression d'être déjà arrivés en Asie du Sud Est, Carlos qui connaît confirme la ressemblance.
La douche est ouverte à hauteur de tête et offre une très jolie vue sur la vallée. ;-) La végétation est luxuriante et nous avons un peu l'impression d'être déjà arrivés en Asie du Sud Est, Carlos qui connaît confirme la ressemblance.
Le troisième jour est le plus dur car une ascension d'au moins 5h avec 1 300 mètres de dénivelé nous attend. Comme Elise n'a pas trop aimé la descente de la veille car le terrain est très abîmé par les pluies fréquentes, elle choisit l'option "cheval" et ne le regrettera pas ! Le début du chemin est relativement plat et nous faisons une petite pause afin de goûter un alcool de canne local. Ici, tout est fait à l'ancienne, de la presse à l'alambic.
Un peu plus loin, la pente s'accentue et le sentier n'est plus qu'un long chemin de boue... même le cheval d'Elise a du mal à ne pas tomber tellement le terrain est mauvais et glissant. Nous mettrons près de 6 heures pour arriver au sommet à Yumal (3 400 m) avec seulement quelques minutes de pause et 3 abricots secs dans le ventre car le guide n'avait rien prévu à manger avant la fin de la randonnée...
Au milieu de la montée, nous visitons le site de Lanche qui est très semblable à celui découvert la veille.
Nous arrivons en haut épuisés, à court d'énergie et sous une pluie glaciale... Elise descend de son vaillant destrier et retrouve la terre ferme ! (hé non, elle ne descendra pas de la montagne à cheval ;-) Pour redescendre, la vue étant complètement bouchée, nous optons donc pour la route en espérant croiser une voiture et nous finissons la randonnée à l'arrière d'un pick-up !
En bas, dans le village de Choctamal, une bonne truite grillée, un thé et une douche chaude nous attendent pour nous remettre. L'après-midi, petite sieste de... 4h30 histoire d'attaquer le dîner en pleine forme !
En bas, dans le village de Choctamal, une bonne truite grillée, un thé et une douche chaude nous attendent pour nous remettre. L'après-midi, petite sieste de... 4h30 histoire d'attaquer le dîner en pleine forme !
Le lendemain, nous grimpons dans un collectivo pour rejoindre la citadelle de Kuelap, au sud-est de Chachas. Cette forteresse ovale de 700 mètres de long aurait nécessité plus de pierres pour sa construction que la grande pyramide d'Egypte ! Perchée à 3 100 mètres de haut sur un grand plateau, on la distingue de très loin.
La vue sur les montagnes cultivées environnantes est impressionnante et nous empruntons à pied un petit sentier pour rejoindre l'entrée principale du site.
Il n'y a que trois portes pour franchir les immenses remparts haut de 6 à 12 mètres, formé de murs ondulés entourant tout le site.
Chacun de ces corridors se rétrécit pour être juste assez large pour une seule personne de façon à être facilement défendu.
A l'intérieur se trouvent 500 habitations réparties sur 4 niveaux. Seuls les deux premiers niveaux peuvent se visiter, les deux derniers, ceux de l'aristocratie sont peu stables et en cours de fouilles. On distingue de nombreux murs arrondis caractéristiques des habitations de cette civilisation.
Les maisons étaient hautes de près de 6 mètres et l'on pense qu'il existait un second étage utilisé pour stocker les denrées alimentaires (céréales), lui-même surmonté par un toit de chaume pointu pour faciliter l'évacuation de l'eau. Un petit mur creux au milieu de la maison servait à élever les cuys (cochons d'Inde). Certains murs sont décorés avec des frises représentant certainement un serpent, symbole de l'eau.
A son apogée, près de 3 500 personnes vivaient à Kuelap. A une extrémité trône une tour de garde avec une vue à 360°, impossible de prendre la forteresse par surprise, d'autant qu'un système de communication sonore avec les autres cités voisines permettait de se prévenir de tout événement.
Il n'y a que trois portes pour franchir les immenses remparts haut de 6 à 12 mètres, formé de murs ondulés entourant tout le site.
Chacun de ces corridors se rétrécit pour être juste assez large pour une seule personne de façon à être facilement défendu.
A l'intérieur se trouvent 500 habitations réparties sur 4 niveaux. Seuls les deux premiers niveaux peuvent se visiter, les deux derniers, ceux de l'aristocratie sont peu stables et en cours de fouilles. On distingue de nombreux murs arrondis caractéristiques des habitations de cette civilisation.
Les maisons étaient hautes de près de 6 mètres et l'on pense qu'il existait un second étage utilisé pour stocker les denrées alimentaires (céréales), lui-même surmonté par un toit de chaume pointu pour faciliter l'évacuation de l'eau. Un petit mur creux au milieu de la maison servait à élever les cuys (cochons d'Inde). Certains murs sont décorés avec des frises représentant certainement un serpent, symbole de l'eau.
Le site expliqué par notre guide, Ronald |
Si la majorité de la végétation a été nettoyée, les arbres à l'intérieur du site ont été laissés en place et sont couverts d'épiphytes et de broméliacées. Il y a même quelques lamas qui se promènent !
A l'autre extrémité de la citadelle, un bâtiment en forme de cône renversé intrigue.
Il est creux au centre et le trou en son sommet est d'une cinquantaine de centimètres puis il s'élargit en forme de bouteille. Les interprétations sont diverses : calendrier pour les uns (la lumière entre dans le bâtiment les jours de solstice), édifice religieux pour les autres (des os d'animaux sans doute sacrifiés ont été retrouvés sur le sol). Il est probable qu'un autre bâtiment du même type, mais beaucoup plus grand, était situé un peu plus loin sur le site mais il a été détruit par les Incas qui ont pris possession du lieu et tenté d'imposer leurs divinités. Les Chachapoyas n'ayant pas d'écriture, nous n'avons aucun moyen de connaître leur langue et aujourd'hui, les habitants de la région ne parlent que castillan. De plus, peu de céramiques ont été retrouvées et elles restent très basiques, seul quelques tissus trouvés dans les sépultures, leur architecture et les tombes témoignent de la richesse de cette civilisation.
Il est creux au centre et le trou en son sommet est d'une cinquantaine de centimètres puis il s'élargit en forme de bouteille. Les interprétations sont diverses : calendrier pour les uns (la lumière entre dans le bâtiment les jours de solstice), édifice religieux pour les autres (des os d'animaux sans doute sacrifiés ont été retrouvés sur le sol). Il est probable qu'un autre bâtiment du même type, mais beaucoup plus grand, était situé un peu plus loin sur le site mais il a été détruit par les Incas qui ont pris possession du lieu et tenté d'imposer leurs divinités. Les Chachapoyas n'ayant pas d'écriture, nous n'avons aucun moyen de connaître leur langue et aujourd'hui, les habitants de la région ne parlent que castillan. De plus, peu de céramiques ont été retrouvées et elles restent très basiques, seul quelques tissus trouvés dans les sépultures, leur architecture et les tombes témoignent de la richesse de cette civilisation.
Suite à cette visite, on entame un très long périple en bus vers Guayaquil, en Équateur. En effet, il nous faut 1h pour redescendre de Kuelap vers Choctamal, notre étape déjeuner. Ensuite, 2h de minibus pour atteindre Chachapoyas, puis 10h de bus de nuit confortable jusqu'à Chiclayo. Arrivée en pleine forme à Chiclayo à 5h30 du matin, nous quittons les amis Suisses et sautons dans un bus vers le nord. Nous atteignons Piura en 2h, grignotons un morceau et remontons dans un autre bus (bien pourri celui-ci) pour rejoindre Tumbes 6h plus tard... Un peu vannés, nous sortons du bus et cherchons un taxi pour aller à la compagnie de bus Cifa qui propose des directs à destination de Guayaquil. Un homme nous propose de nous emmener et les employés de la compagnie nous disent qu'il est sérieux, pas de problème... sauf qu'il ne nous conduit pas du tout à Cifa mais nous fait traverser la frontière. Un autre taxi, équatorien cette fois, nous récupère et nous conduit à Huaquillas dans une société de transport privé pour Guayaquil. Le véhicule devait partir à 18h, finalement, nous ne partirons qu'à 20h. Le hic dans l'histoire est le tarif du service... le taxi nous avait annoncé 120 soles (40 €) par personne transport jusqu'à Guayaquil compris, sauf que l'on nous demande au final 120 $ (la monnaie en Equateur est le dollar US soit 100 €) par personne... et là, ça fait très cher le passage de frontière. Les arnaques de la sorte semblent monnaie courante à ce poste frontière réputé peu sur, cela nous servira de leçon. De plus, on relativise en se disant qu'il vaut mieux ça que de se faire piquer un sac ou dépouiller nos cartes bleues ou nos passeports... Bref, on va bien, on a pas eu peur, il fait chaud, on est en Equateur et c'est bien le principal !
Nous voilà donc dans notre 4ème pays en Amérique du Sud. Nous avons passé un mois plein de découvertes culturelles, culinaires, de paysages et d'échanges avec les gens. Le Pérou est vraiment un pays d'une extrême richesse et l'accueil est incroyable, surtout dans le nord, beaucoup moins touristique que le sud.
Certaines petites choses nous ont amusées ou étonnées au Pérou :
* La campagne politique pour les municipales et l'équivalent des cantonales bat son plein alors que les élections à lieu dans... 3 mois. Énormément de murs sont peints aux couleurs d'un candidat (il y en a même un qui s'appelle Vera !)
* La quantité de restaurants chinois (chifa) et la présence un peu partout des figurines en forme de petit chat doré qui bougent la main pour souhaiter la bonne fortune, y compris dans les restaurants typiquement péruviens.
* Le système de collectivo où le conducteur est assisté par un rabatteur qui annonce la destination, fait monter et payer les gens. Ces minibus, comme en Bolivie, sont parfois des secondes mains venant du Japon, il y a encore des écritures japonnaises sur les vitres.
* L'obstination des gens dans le sud à vouloir nous parler en anglais alors qu'on leur répondait en espagnol... (Gringos = anglophones...)
* Le voyage dans un bus avec des cages à poules sur le toit (bonjour l'odeur !).
* Les taxis qui nous klaxonnent à tout bout de champ pour nous indiquer qu'ils sont libres (Gringos = je ne marche pas ;-)
* Le fait qu'il y ait de la nourriture partout et à toute heure, beaucoup de marchands ambulants qui vendent plein de friandises, et les gens qui passent leur temps à manger. Même les pharmacies vendent parfois des paquets de chips...
* Les gens qui doublent dans les files d'attente alors que vous êtes vous-même dans la queue.
Encore de nouveaux paysages, une nouvelle civilisation, des explications passionnantes, des photos superbes! Incroyables ces sarcophages dans la montagne. Bravo pour les efforts durant ce trek difficile.
RépondreSupprimerDommage que la sortie du Pérou se soit accompagnée d'une désagréable surprise....
Enfin, vous restez philosophes et n'avez pas perdu votre humour.
Mille bisous .
Annie
Je vote pour le candidat VERA BALLON , j’espère qu'il est bien !!
RépondreSupprimersurveillez les résultats.
bises et pensées.
Annie
Magnifique, profitez bien tous les deux. Sev
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerBeau trek, ça donne envie !
Quel en a été le prix svp ?
Merci !